21 July 2009
Twitterland
J'ai encore viré quelques types que, charitablement, j'avais placés dans la liste following lorsqu'ils s'étaient inscrits dans celle de mes followers. Oui, je parle de Twitter qui est peut-être en train de vivre ses derniers jours, alors que mon compte sur ce social network est ouvert depuis deux ans - j'y reviendrai. J'ai viré ces types parce qu'ils m'obligeaient à assister à leurs interminables exercices d'entreléchouillages de culs permanent. C'est obscène, et c'était devenu insupportable ; même en tenant ces léchouilleurs à distance, c'est à dire en ne leur adressant quasiment jamais la parole. Cette race de communicants me débectent. Ils n'ont rien d'autre à foutre que de donner leur avis sur tout et sur n'importe quoi, histoire de faire semblant d'avoir quelque chose à dire alors que c'est seulement un prétexte pour se retrouver emboîtés ensemble, les uns dans les autres. Le pire c'est qu'ils sont toujours tous du même avis et parlent tous, en même temps, des mêmes choses. Quelques leaders d'opinions donnent le ton, et une fois que la hauteur de la note est fixée, le gros du troupeau suit, comme un seul mouton : d'un bout à l'autre de Twitterland retentissent ensuite les tristes bêlements. C'est pénible ! Je me demande comment vivent ces types, comment fonctionne ce qui leur sert de cervelle ? C'est un mystère. Mais un mystère que je ne chercherai pas à élucider car la réponse me semble sans aucun intérêt. Que ces types fassent ce qu'ils veulent entre eux, mais qu'ils ne se trouvent pas dans mon champ de vision, ni sur mon passage, c'est tout ce que je demande.
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